« Quand on vous dit à cinq ou six ans que vous n’êtes pas un enfant de la famille, ça fait un choc pendant quelque temps quand même »
Jean (Candidat à L’amour est dans le pré)
Placé dans une famille d’accueil à l’âge de cinq mois, dans laquelle il est resté jusqu’à ses 21 ans, en raison des soucis de santé de sa mère, cet éleveur de vaches allaitantes du Haut-Beaujolais a eu une enfance rude mais pleine de tendresse.
« Quand on vous dit à cinq ou six ans que vous n’êtes pas un enfant de la famille, ça fait un choc pendant quelque temps quand même », avoue-t-il à la spécialiste des cœurs à prendre de la campagne française. Mais Jean ne se plaint que très rarement. Et pourtant, ses malheurs ne s’arrêtent pas là. Côté cœur, c’est également compliqué.
Inspiré par un couple de l’édition précédente
Séparé de sa compagne depuis début 2020 – qu’il avait connue grâce à une agence matrimoniale il y a vingt ans -, il peut compter sur une épaule sûre, sa fille cadette, et désormais aussi sur Karine Le Marchand.
Inspiré par un couple de participants à l’émission de la région lyonnaise ( Lucile et Jérôme, récemment parents, N.D.L.R ), Jean a eu le déclic et n’a pas hésité à s’inscrire à l’émission. Il recherche donc une femme, entre 45 et 55 ans, aux cheveux mi-longs, gentille, sociable, disponible pour les loisirs et pour faire l’amour, activité qu’il décrit comme « un bouquet final de feu d’artifice ».
Prochaine étape : l’ouverture des courriers
Si son régime alimentaire est quelque peu à revoir, il compte bien faire des efforts pour ses prétendantes. Et cela ne passera pas uniquement par le garde-manger, puisque Jean a entièrement refait sa maison… et sa dentition pour l’occasion.
Alors le candidat local recevra-t-il de nombreux courriers ? Réponse dans quelques mois sur M6.
Courrier. Pour lui écrire : L’amour est dans le pré – TSA 21234, 75070 Paris Cedex 02, ou par mail via en se connectant à la page « L’amour est dans le pré » sur www.6play.fr.
Pauline Michaud