Le déconfinement s’accélère. Du coup, des manifestations culturelles pourront se tenir cet été…
Absolument. C’est la bonne nouvelle de ces derniers jours. Nous allons pouvoir reprogrammer des rendezvous que nous avions dû annuler du fait du Coronavirus. Ainsi, les « Jeudis de Béziers » vont commencer dès la dernière semaine de juin. Le Son et lumière se tiendra, tout au long des mois de juillet et août, sur la place de la Madeleine. Vous pourrez admirer le feu d’artifice de la fête nationale, comme tous les ans, le soir du 13 juillet. Sans oublier celui du 22 août pour commémorer la libération de notre ville en 1944. Et puis, il y aura d’autres surprises ! Nous y travaillons. Béziers devrait être plus belle, plus surprenante que jamais… Nous aurons l’occasion d’y revenir. Si la Féria n’aura pas lieu, puisque les rassemblements de plus de 5 000 personnes restent interdits, nous marquerons le 15 août à notre manière ! Il faudra être à Béziers ce jour-là…
Reste que l’épidémie n’a pas disparu comme par miracle…
Vous avez raison. Le virus est toujours là même si sa propagation a beaucoup diminué. Aussi, je veux le redire, il faut respecter toutes les règles avec lesquelles nous avons pris l’habitude de vivre ces dernières semaines. Et parmi elles, le port du masque. Pour ceux qui en auraient besoin, nous continuons à en distribuer. Gratuitement bien sûr. On peut les retirer à l’entrée de l’hôtel de ville comme à l’accueil de la Caserne Saint Jacques, mais aussi dans les maisons de quartier, à la Maison de la vie associative et au Palais des Congrès.
Un dernier mot. On ne parle que de rugby dans les rues de Béziers…
Cela ne m’a pas échappé (sourire). Aujourd’hui, les deux parties -le club professionnel et les Émiratis- ont choisi des avocats pour les représenter. Il s’agit maintenant d’une discussion entre deux entités privées. Le maire n’a pas à intervenir dans ces négociations. Je suis en retrait. Mais si les négociations avancent et qu’un accord se dessine, je souhaite que celui-ci me soit présenté avant d’être soumis à la DNACG, le gendarme financier du rugby, qui devra, dans tous les cas, donner son feu vert.